Monsieur Christophe YIMGA

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Domicilié à Avignon (84000, France)
Né à Paris (75014, France) le samedi 27 juillet 1974
Décédé à Avignon (84000, France) le jeudi 26 juin 2025 à l'âge de 50 ans

Espace condoléances de M. YIMGA Christophe 

Cet espace condoléances a été créé le lundi 30 juin 2025.

Les hommages

10 hommages (6 privés)  
Hommage 

Mon cher frère, tu es parti . Nous t’aimons. Nous sommes fier de toi. Nous te remercions. Homme de foi, d’amour et d’humanité, Christo. Au revoir l’artiste. Que tes enfants, parents et amis sachent que nous les aimons. Democrates D

Hassan Allangba Soumahoro- 09-07-25

Hommage 

Nous garderons en mémoire une force de la nature indomptable, qui a vécu chaque instant avec une énergie hors du commun. Le partage de ses talents culinaires témoignait de sa générosité et de la grandeur de son cœur discret, que seuls les plus proches pouvaient réellement percevoir. Que la douleur soit adoucie pour l’amour de sa vie, à qui il laisse une empreinte indélébile, ainsi que pour toutes les personnes qui ont eu la chance de découvrir sa véritable nature. Que la terre lui soit légère et qu’il puisse enfin trouver la paix éternelle. 🤲🏽🫶🏾

Mariame Aw- 05-07-25

Hommage 

À toi qui as tant aimé ta Mami (Ma Djey), tu as fait de ton mieux. Elle t’a laissé partir par amour, et tu n’as jamais cessé de l’aimer. Pour elle, merci. Pars en paix… tu seras dans nos prières. Nous veillerons sur Djey

Kari K- 04-07-25

Hommage 

Adieu mon YIM, mon amour, mon mari, l’homme qui m’a aimée comme personne…

Tu es parti, et avec toi s’en va une part de mon histoire, de mon cœur, de ma lumière, de ma vie.

Tu as été l’homme qui m’a aimée le plus fort, le plus vrai.
Dans toute ma vie, je n’ai jamais reçu autant d’amour, de tendresse, de regard profond posé sur moi.
Jamais on ne m’avait autant sécurisée, autant protégée.
Avec toi, je me sentais invincible, au point d’oublier que la vie n’était pas un jeu,
au point de franchir des limites sans mesurer le danger,
jusqu’à réaliser, parfois trop tard, que certaines blessures brûlent.
Tu m’as vue, entièrement, même dans mes silences. Tu m’as embrassée avec ton âme, ton feu, ta folie douce et ta folie.

Dix ans à tes côtés. Dix ans de passion, de rires, de larmes, de vie pure.
On n’était pas parfaits, mais qu’est-ce qu’on était beaux. Vivants. Entiers.
Le monde nous voyait, nous sentait. On laissait une trace. Ensemble, on brillait.

Je me souviens de notre tout premier échange, comme si c’était hier :
– Bonjour, moi c’est Chrysto.
– Enchantée. Très bien, moi c’est Diamant.
– Madame, vous serez ma femme.
– Ah oui ?
Et c’était dit. C’était écrit. Le destin venait de parler.
Tu es né le 27 juillet. Je suis née le 28 juillet. Comme si l’univers avait soufflé doucement :
“vous deux, c’est écrit quelque part.”

Merci de m’avoir aimée comme tu l’as fait, aussi intensément, aussi longtemps.
Merci d’avoir cru en moi.
Tu m’as donné un amour que je n’oublierai jamais.

Et même si tu n’étais déjà plus là, ton ombre, elle, est à partir d’aujourd’hui,
comme si on pouvait recommencer à s’aimer autrement…
Dans mes pas, dans mes silences, dans mon souffle.

Je te rends hommage avec chaque battement de mon cœur.
Repose en paix YIM.
Je sais que tu m’emportes en toi, je t’emporte aussi pour toujours.

Djeynaba Aw- 03-07-25

 
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